Chers amis de l’Inde,
J’ai le plaisir de vous annoncer la parution de l’ouvrage NIRMALA de Premchand.
Quatrième de couverture
Premchand publie en 1928 ce roman parmi les plus émouvants de la littérature hindi, consacré aux conséquences d’un mariage arrangé entre une jeune fille et un homme de trente ans son aîné. Déjà père de trois fils adolescents, ce dernier devient un mari possessif et rend la vie de sa jeune épouse insupportable. Sa jalousie maladive sera même fatale à l’un de ses fils. Avec un sens aigu du devoir, Nirmala accepte sont sort avec résignation et essaie de braver les épreuves de cette vie qu’elle n’a pas choisie. L’auteur, dont les intentions sont ouvertement réformistes, aborde avec audace une question épineuse dans la société indienne de son époque et toujours actuelle aujourd’hui : celle des mariages forcés.
Traduit de l’hindi par Suganyan Anandakichenin et Caroline Touitou.
http://editions-banyan.com/premchand-nirmala.html
Amitiés,
David Aimé
Directeur des Éditions Banyan
Mois : juin 2016
L’Héritage de Roger Anger
L’HÉRITAGE DE ROGER ANGER
Recherche sur la beauté Architectures 1953-2008
Intoduction
Claude PARENT, architecte
Intervenant
Anupama KUNDOO, architecte
Conférence organisée dans le cadre des Journées Européennes du Patrimoine
© Pavillon de l’Arsenal 2010
L’innovation Jugaad : redevenons ingénieux !
VIDEO. Un Œil sur la planète. Inde : « jugaad », le sytème D
En Inde, la « jugaad », c’est-à-dire la débrouille, le système D obligatoire quand on n’a rien, est devenue une philosophie qui se pratique chez les plus pauvres, mais aussi dans la science, l’industrie de pointe… Un reportage du magazine « Un Œil sur la planète » du 16 juin.
La classe d’Indira Gandhi
La classe d’Indira Gandhi
NB. Ceci est une version d’un article publié en 2008, “La classe d’Indira Gandhi ». Héritage et invention d’un style subtilement versatile », in Omar Carlier et Raphaëlle Nollez-Goldblach (Dir), Le corps du leader, Construction et représentation dans les pays du Sud, Paris, L’Harmattan.
Dans le monde occidental, le souvenir d’Indira Gandhi, Première ministre de l’Inde de 1966 à 1977 puis de 1980 à 1984, est fort, et l’on peut imaginer deux motifs au moins à cela : d’une part une femme chef d’État – et notamment d’un État du tiers monde -était encore une incongruité à l’époque. D’autre part Indira Gandhi était toujours, lors de ses nombreuses visites à l’étranger, vêtue d’un sari. Ce vêtement, composé d’une pièce unique d’étoffe de 5 à 8 mètres de long, savamment drapée autour du corps, est le costume féminin national de l’Inde (1).
(1) Même si le salwar kameez (ensemble composé d’un pantalon, d’une tunique longue et d’une écharpe) connaît un succès grandissant parmi les citadines indiennes, non seulement dans les États du nord (Punjab, Jammu et Cachemire) dont il est originaire, mais aussi dans le reste du pays.